Analyse : La stratégie promotionnelle du Cabinet des Curiosités
Pour inaugurer ma série d'articles sur “Le Futur du Contenu”, je te propose ma perspective honnête de marketeuse de contenu ET d’activiste anti-contenu-poubelle sur le plus gros bundle de l'infopreneuriat francophone, le Cabinet des Curiosités.
Comme à chaque année, il ne s'écoule pas 24 heures avant la fin du Cabinet des Curiosités (CdC) que l'on voit se multiplier les publications qui se plaignent de ne voir que cela dans leur fil d’actualité pendant une semaine complète.
En effet, la stratégie “boyau d’arrosage” du CdC peut en irriter plus d’un.
Après tout, on vit dans une ère de surproduction informationnelle et on a la couenne sensible quand on voit déferler des vagues comme ça dans l’intimité de notre boîte courriel.
Nonobstant ce que je pense des organisateurs (Charles et Alexe sont non seulement des amis et collaborateurs, mais aussi des professionnels que je respecte immensément), ça m’a donné envie de disséquer le phénomène.
Pour inaugurer ma série d'articles sur “Le Futur du Contenu”, je te propose ma perspective honnête de marketeuse de contenu ET d’activiste anti-contenu-poubelle (titre autoproclamé) : une analyse en trois verdicts sur l’éthique, l’intrusivité et l’efficacité de la stratégie promotionnelle du Cabinet des Curiosités.
